En faisant un peu de rangement dans mes disques durs et mes sauvegardes, j’ai retrouvé une série de mails plutôt amusants !
Il y a quelques années, alors que je présidais une association d’aide à de jeunes auteurs, une jeune fille voulait savoir comment évoquer un épiderme clair par d’autres thermes que “pâle” ou “blanc”.
Je lui réponds “éburnéen”, “ivoirin”, “exsangue” ou “livide”, en fonction du type de pâleur qu’elle souhaite décrire.
Trois jours plus tard, je reçois une nouvelle inspirée des romans de Michael Moorcock qui commence par : “Elric était un grand albinos éburné…” !